Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Les mots de Maître Parkane
11 mai 2011

L'Antiphète (Part I)


Zordik, le rejeté et le haï, qui était le crépuscule de sa propre nuit, n'avait pas eu la patience d'attendre dans le désert de Noâme qu'on vienne le chercher pour le ramener dans la ville de sa mort future.

Le jour où les fleurs de cactus se consumèrent sous le soleil zénithaire, il décida de partir, de se parer de son chemin du retour comme d'un collier de perles de pas brillants sous la lune croissante. Au loin, il aperçut la piste balayée par les vents de sable et d'oubli.

Les fenêtres de son esprit se refermèrent et son détachement avança dans la dune. Il ouvrit la bouche et jeta son sort dans un cri sans fin.

Publicité
Publicité
Commentaires
O
Tsa le jeté et le nervi , qui était l’aurore de ce qu’aurait pu être sa vie, n’avez pas encore quitté son campement dans ce desert de Noâme où il attendait que la bonne fortune lui présente quelques extravagants.<br /> <br /> La nuit où les gouttes de sable jouèrent leur symphonie en dévalant la dune vers le creux de la cuisse nadiraire il décida de rester et de parer ses doutes par cet enchantement. Prés de lui soudain une femme lui parlait des dangers de la route des vents et de l’oubli. <br /> <br /> Les fenêtre de son esprit s ouvrirent et son attachement avança dans la dune. Il offrit son corps et jeta son sort dans une faim sans cri.
O
Goethe.
Publicité
Les mots de Maître Parkane
Derniers commentaires
Archives
Les mots de Maître Parkane
Publicité