3 février 2009
On ne s'en lassera donc jamais ?
Balladur demande plus de sacrifices aux salariés
... Qualifiant l’année 1993 de « difficile », le premier ministre a affirmé que, au-delà de sa situation personnelle dans les sondages, « ce qui compte, c’est la situation du pays ». Il a souhaité que « les Français se placent dans un état d’esprit positif » et que « chacun fasse preuve de tolérance ». Il a ensuite formé trois voeux pour 1994 : que les Français « se serrent les coudes dans une période difficile » ; qu’ils « retrouvent l’espérance en un avenir meilleur » ; que se poursuive « l’effort pour le redressement du pays, ce qui exigera beaucoup de peine et beaucoup de travail ». ...
(Source l'Humanité du 5 janvier 1994)
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